ma premiere fic (par warashi )

donc voila je vais posté ma fic comme je l'ai annoncé precedemment.

il se peut meme il est tres probable de trouver des fautes. j'ai ecris chaque chapitres un peu a la va vite. elle est pas entierement terminée mais ca avance.
donc j'espere que ca vous plaira. soyez indulgent please.

(il y a un copyright dessus. toutes reproduction est interdite et fera l'objet d'un amende et ... quoi c'est pas vrai et alors ca change quoi?)

a oui le nom du perso principal est un peu pourri finalement et les noms des autres persos sont souvent tiré de manga ou de jeu vous le verrez assez tot, mais j'ai la fleme de les changer maintenant. c'est trop tard.

Chapitre 1

kenichi a grandit dans un village assez tranquille.
Ses parents moururent alors qu'il n'était qu'un enfant alors il fut élevé par son oncle, forgeron réputer dans tout le pays.

Kenichi, aussi appeler Ken, appris de son oncle tous les secrets pour être a son tour un grand forgeron.

Ken tomba amoureux d'une jolie jeune fille nommée ayame, qui était la fille d'un bon client et ami. Avec son caractère timide il n'osait pas lui dire mais ils devinrent bon amis. Il faisait tous plein de petites choses pour la mettre sur la piste. Lors de leurs discussions kenichi le sous-entendait mais apparemment il n'était pas sur la même longueur d'onde qu’ayame.

Un jour, un homme étrange vint à la forge et commanda une hache. Il savait ce qu'il voulait car il vint avec tous les matériaux nécessaires et le croquis de l'arme à forger.
L’oncle, qui n'était pas ne très bonne forme ces temps ci, confia le travail a kenichi.

L’ouvrage mis trois jours à se faire. L’homme avait l'air satisfait. Kenichi et ayame discutaient dans la forge. L’oncle de Ken s'approcha pour demander l'argent dut.

L’inconnu regardait sa hache sous tous les angles et s'extasiait de plus en plus.

L’oncle insista un peu pour avoir son argent.

L’homme regarda fixement l'oncle, puis soudainement il leva la hache et d'un coup trancha le bras de l'oncle.
Les gens aux alentours furent terrifiés par le cri d'agonie de l'oncle.

Pris d'une rage insoutenable, Ken saisi le premier truc qui lui passa sous la main et le jeta sur l'agresseur. Puis il se munit d'une épée juste fini de forger et chargea sur l'homme à la hache.

Des larmes coulaient le long du visage de Ken et ayame, en larme elle aussi, appelait à l'aide.

L’inconnu para le coup de Ken sans difficulté. L’épée se brisa contre la hache et l'homme saisi le bras de Ken et se mis à le tordre au point de le déboiter.

Ken était par terre, pris de panique les personnes aux alentours s'étaient enfuies.

Ken:(sanglotant) POURQUOI?? POURQUOI??
Inconnu: c'est vraiment du très bon travail. Il fallait tester le matériel.

Et il partit en riant comme si de rien était.
Ken se mit a rampait vers son oncle, ayame quant a elle arrive en courant

Ken:(secoue son oncle) mon oncle! Mon oncle! Tu va t'en sortir! Tu dois t'en sortir!
Oncle:(du sang coule de sa bouche) ne t'inquiète pas kenichi-san!(tousse) moi il ne me reste plus beaucoup de temps à vivre.
Ken: dit pas ca!
Oncle: je te connais et je sais que tu va faire des bêtises c'est pour ca que (tousse) ayame j'aimerais que tu l'emmène chez toi pour veiller sur lui. (Tousse) on peut dire que c'est ma dernière volonté. Ken cet homme est un maitre du combat alors ne t'attaque pas a lui, tu en mourrais tu es trop faible.
Ken: mon oncle.

De son bras valide kenichi sert le corps désormais inerte de son oncle. Ayame, choquée par cette marre de sang, tomba dans les pommes.

Ken:(pour lui) je te vengerai mon oncle. Je prendrai le temps qu'il faudra mais je te vengerai.

Chapitre 2

Dix ans se sont écoulés depuis ce terrible meurtre. Kenichi s'est entrainé chaque jour avec fureur afin de maitriser l'art du combat, que se soit à mains nues ou avec une arme quelconque.

Pendant ce temps un nom s'est taillé dans l'Histoire: SAÏ, la hache sanguinaire. Connu pour avoir pris d'assaut un château et en être sortit victorieux, tout ca grâce a sa hache dévastatrice a quoi rien ne résiste.

Kenichi était prés à partir pour retrouver ce SAÏ. Il savait que se ne serait pas facile de l'abattre et que pour ca il avait besoin d'une arme aussi exceptionnelle voir plus que la hache de SAÏ. Il passa à la forge et se forgea une épée gigantesque et flamboyante. L’épée que Ken venais de forger pourrait être considérée comme son chef d'œuvre. La lame était longue et large, le manche permettait une parfaite maitrise de l'arme. Le poids était parfait.

Ayame quant à elle n'était pas resté dans son coin à rien faire. Elle était devenu une experte en arme de jet et maitriser les couteaux comme personne, parfait pour les infiltrations. Elle décida d'accompagner kenichi lors de sa vengeance car c'est le vœu du défunt oncle.

Kenichi forgea donc deux wakizashi de la même qualité que son épée. Ken dut déployer tous ses talents de forgeron pour fabriquer ces armes.

SAÏ, lui, avait monté une petite armée, d'homme de bêtes et de créatures maléfiques, et s'était installé dans le château qu'il avait pris.
Ses hommes sillonnaient le pays et terrorisaient la population.
Il y eu quelques révoltes mais SAÏ les avait tous exterminé.
Bien entendu SAÏ procédait à des exécutions publiques pour se divertir et pour montrer l'exemple.

Ayame et kenichi sortirent du village et après un court adieu de loin ils prirent la route d'un long chemin

Chapitre 3:

Kenichi était assez excité. C’était la première fois qu'il aller si loin du village et de plus il était avec ayame ce qui ne lui déplaisait pas.
Les arbres étaient denses en cette saison. Ken sentait des odeurs qu'il n'avait encore jamais sentit ailleurs que dans des essences de plantes avec lesquelles on faisait du parfum.
Les cerisiers qui bordaient la route faisaient tombaient leur pétales tout autour du petit couple. Ils marchaient sur un chemin de pétales rose.
Ken sentait son cœur battre de plus en plus vite. Ce paysage mettait une ambiance très romantique et les sentiments quelque peut mis a part depuis ces dix dernières années refaisaient surface brusquement.
Il tourna la tète vers ayame. Elle regardait fixement devant elle. Un petit sourire aux lèvres sur son joli visage fit chavirer le cœur de kenichi. Elle marmonner un petit air très beau d'ailleurs. Et puis qu'est ce qui ne pourrait pas sembler beau en ce moment, qui était le plus beau moment de la vie de Ken.

Il fut vite tiré de son rêve quand un homme, nu avec une branche de cerisier devant ses parties, surgit en courant de derrière un arbre un peu plus loin. Il se dirigeait vers Ken et ayame. Puis trois hommes, assez musclés, le sabre a la main, sortirent du même endroit. Enfin un dernier homme, plus frêle, ferma la marche, il hurlait des ordres a ces armoires a glace même si ces derniers étaient proches de lui.

L’homme nu venait de dépasser ayame et kenichi, il se retourna d'un bon et se cacha derrière Ken, qui était pour le moins surpris de ce spectacle. Ayame s'éloigna de deux pas sur le coté.

Homme: hé toi aide moi s'il te plait.
Ken: (se retournant) t'es qui toi? Et d'abord c'est quoi ca?
Homme: moi c'est mizuki. Et eux c'est des hommes du terrible SAI.

À ce nom kenichi fut saisi de rage. Il sortit son épée du fourreau et regardait fixement les quarts hommes.

Mizuki: ils m'ont volé mes affaires pendant que je me baignais dans le lac. Après ils ont voulu me couler pour voir combien de temps je tenais.

Les hommes s'approchaient rapidement. Kenichi s'avança de quelques pas et chargea contre les hommes.
Le premier de ces gorilles attaqua à la verticale de kenichi. Ken para le coup, qui se révéla assez puissant. La lame de l'assaillant se brisa et laissa à Ken l'occasion de lui ouvrir le ventre. Un morceau de chair gisait désormais sur le sol couvert de pétale rose et rouge sang.
Cependant un deuxième homme attaqua kenichi avant que celui ci ne puisse réagir. L’ennemi arrêta subitement son attaque et tomba raide mort à coté de son compagnon, un kunai dans le crane.

Kenichi: merci ayame. Bon il en reste deux.
Ayame: faut-il vraiment nous battre
Kenichi: et comment. Aller c'est parti

Ayame et Ken chargèrent sur les ennemis restant. Le dernier des costaud voulu fendre Ken, mais celui ci bloqua le coup avec son épée en s'accroupissant. Pendant ce temps ayame pris appuis sur kenichi et exécuta un très beau salto par dessus l'homme tandis qu'elle lui assenait trois coup de wakizashi sur le crane.
Le dernier homme était tombé à terre. La vue de ce spectacle l'avait terrorisé.
Ayame et kenichi s'approchèrent et fixèrent l'homme.

Kenichi: ou est saï?
Homme de saï: maitre saï vous fera payer!!! Vous allez souffrir
Kenichi: (donne un coup de pied a l'homme) ou est saï?
Homme de saï: je ne vous le dirais pas, j'ai fait serment de servir maitre saï.
Kenichi: alors tu va mourir.

Kenichi lève son sabre au dessus de l'homme, il s'apprête à frapper mais ayame l'arrête

Kenichi: pourquoi ayame?
Ayame: si tu fais ca tu seras comme LUI
Kenichi: tu a surement raison. Toi va t en de la.

Ayame et kenichi se retournent vers mizuki. L’homme de saï sortit un couteau et attaqua ayame qu'il blessa.

Homme de saï: on ne tourne jamais le dos à un adversaire encore vivant.
Kenichi: (hors de lui) enfoiré tu va mourir!

Ken trancha le bras de l'homme puis l'autre, l'homme tomba et enfin Ken lui planta son épée profondément dans le corps. L’homme fut planté au sol. Kenichi retira son épée et se tourna vers ayame.

Kenichi: ayame! Ayame ca va?
Ayame: je crois oui

Ken regarda la blessure

Kenichi: l'enfoiré la blessure est profonde. Faut soigner ca vite fait
Mizuki: (arrive en courant après avoir enfilé les habits utilisables des morts) la bas y'a un village allons y. je connais le médecin
Kenichi: merci

Ken chargea ayame sur son dos et il suivit mizuki jusqu'au village dont il parlait.

Chapitre 4

Le petit groupe arriva assez vite au village. On pouvait distinguer deux rues principales et quelques ruelles partaient de la pour mener a des petites sorties

Mizuki passa devant et descendu l'une des grandes rue. Il tourna dans une ruelle assez sale et s'arrêta devant le seul bâtiment à peu prés en état.
Les vitres étaient à peu prés toutes cassées et réparées de manière assez rustique.

Mizuki: entrez aller!!
Kenichi: t'es sur que c'est la?
Mizuki: certain mais vous inquiétez pas, vous allez voir.

Kenichi entra a contre cœur et a sa surprise découvre un endroit très propre très rangé. On y voyait plusieurs lits bien fait, une petite source d'eau arrive d'un mur et une femme était assise devant un bureau.

Mizuki: voila c'est elle.

Ken fut très troublé et apparemment ayame le fut aussi, malgré le sang qui coulait à flots de son épaule. Pendant ce temps mizuki alla voir la femme au fond et lui parla de l'affaire. La femme se leva aussitôt et demanda à kenichi de poser ayame sur un des lits.
Le médecin examina longuement la plaie et demanda aux autres de sortir.
Un long moment passa. Kenichi faisait les cent pas pendant que mizuki mâchouillait un brin d'herbe.

Kenichi: mais qu'est ce qu'elle fait?
Mizuki: pas de panique. Elle pratique la médecine comme personne. Et je peux te dire que je sais de quoi je parle. Avec tout ce qui m'ai arrivé. Une fois elle m'a soigné alors que les gars du village disaient que j'étais condamné.
Kenichi: bon on se connaît pas depuis longtemps mais j'ai pas le choix je dois te faire confiance.
Mizuki: t'inquiète dont pas. Assied toi. Tu sais pour tout a l'heure je te remercie et je m'excuse pour ce qui arrive a ta copine.
Kenichi: hum. C’est rien.
Mizuki: au fait c'est quoi vos noms?
Kenichi: elle c'est ayame. Moi c'est kenichi mais appelle moi Ken.
Mizuki: ok Ken, bon qu'est ce que vous avez en tète tous les deux car on part pas comme ca pour une ballade de santé.
Kenichi: ca te regarde pas.
Mizuki: ok ok. T’énerve pas.
Médecin: (surgit Ken et mizuki se lèvent) bon entrez.

Ken et mizuki s'exécutèrent sur le champ. En entrant ils virent ayame allongée dans un lit.

Médecin: bon elle va bien. La plaie était profonde j'ai eu un peu de mal. Comment elle s'est fait ca? Car c'est pas une coupure accidentelle ca se vois.
Kenichi: elle s'est fait attaquer par derrière. Et j'ai pas pu la défendre (Ken donna un coup de poing dans le mur)
Médecin: calme-toi. Faut qu'elle se repose, au moins une semaine. En plus la tu peux rien faire pour elle.
Kenichi: c'est ma faute tout ca. Faut que je devienne plus fort.
Mizuki: d'après ce que j'ai vu tout a l'heure je crois que tu l'es déjà bien assez. Avoir battu des hommes de SAI comme ca....
Médecin: de SAI tu dis? LE SAI?
Mizuki: oui oui t'a bien entendu. Il en a fait qu'une bouchée avec sa copine.
Médecin: c'est bien fait pour eux. Bon je vous offre le thé?
Mizuki: avec plaisir.
Médecin: et toi, heu..... Kenichi c'est ca?
Mizuki: prépare lui en un aussi va! Il le mérite bien.

Ken, mizuki et le médecin s'installèrent autour d'une table. Il y avait une belle théière et trois petites tasses. Le médecin servit tout le monde.

Médecin: sert toi Ken, je peux t'appeler Ken au moins?
Kenichi: (prend une tasses de thé et y trempe ses lèvres) oui oui.
Médecin: très bien. Bon mizuki qu'est-ce qui t'es encore arrivé, hein?
Mizuki: écoute rukia-nee san (nee san=grande sœur). Les gars que Ken a tué et ben ils ont essayé de me noyer pendant mon bain. Heureusement je me suis dégagé et j'ai couru. Bon j'étais nu mais j'ai attrapé une branche pour couvrir, enfin tu vois. Après Ken les a abattu et moi je me suis rhabillé. Puis je les ai amenés ici.
Rukia: il t'arrive toujours des misères toi. (Soupir) quoi qu'il en soit merci d'avoir secouru mizuki, Ken.
Kenichi: pas de quoi. De toute façon ils nous auraient attaqués.
Rukia: bon il se fait tard si tu veux tu peux dormir ici. C’est pas grand chose mais c'est le mieux que je puisse offrir.
Kenichi: merci de l'hospitalité.
Mizuki: hé Ken demain je te ferai visiter le village et mes cachettes dans les bois. Après on pourra faire ce que tu veux.
Kenichi: merci de l'invitation bon je vais me coucher.

Rukia et mizuki montèrent l'escalier qui menait a l'étage tandis que Ken partis se coucher dans le lit en face de celui de ayame. Le sommeil fut long à venir car a chaque fois que ses yeux se fermaient il revoyait le moment ou ayame se faisait blesser. Cependant la fatigue prit le dessus et Ken s'endormit.

Chapitre 5:

Kenichi était dans une clairière avec ayame. À quelques pas il y avait un foret de cerisiers en fleurs. Tout était calme. Ayame était heureuse la tète posée sur l'épaule de Ken. Soudain du sang jaillit de l'épaule d'ayame et l'homme de la dernière fois réapparut avec son couteau. Il riait aux éclats. Kenichi voulut faire quelque chose mais son corps ne bougeait pas. Que se passait-il? N’avait il pas tuer cet homme? Pourtant l'homme de saï empoignait ayame. Il lui mit le couteau sous la gorge et ...... Ken se réveilla en sueur. Ce n'était qu'un cauchemar.

Il fit un tour d'horizon du regard. Rien n’avait changé. Les lits étaient rangés, on entendait le petit souffle d'ayame qui dormait paisiblement. Par la fenêtre, kenichi vit que le soleil était levé. Il décida donc de sortir du lit pour prendre l'air. À peine avait t il pousser la porte que mizuki lui sauta dessus.

Ken: holà doucement mizuki. Qu’est ce qu'il y a?
Mizuki: ca fait longtemps que j'attends que tu te lève. Faignant. Faut que je te fasse visiter le village. Aller viens. Suis-moi.
Ken: ok! Ok! Laisse-moi le temps de me réveiller au moins.
Mizuki: quoi! Il est presque dix heure et tu voudras que je te laisse te réveillé? Et puis de toute façon t'es réveillé la, sinon tu me parlerai pas.
Ken: laisse tomber. Bon va y je te suis.

Mizuki avançait d'un pas joyeux. Il sautillait un peu partout. Il avait l'air très heureux de montrer le village à kenichi, même si il n'y avait pas grand chose à montrer.
Il y avait beaucoup de petites échoppes. Les commerçants vendaient surtout de la nourriture, mais certains vendaient des babioles, comme des tasses et des théières à motifs, des tapis et des bijoux. Kenichi, en suivant mizuki, bouscula une jeune fille. Elle devait avoir 10 ans a peu prés. elle avait une jolie robe rose et un ruban bleu nuit en guise de ceinture. Son visage était fin et calme. Elle avait les yeux verts et les cheveux châtains, ce qui était assez rare dans cette région. La petite fille tenait dans ses mains un panier de fleurs. Plusieurs étaient tombées suite à la bousculade.

Ken: désolé jeune fille, tu t'es fait mal? Attend je vais ramasser. (Kenichi ramasse les fleurs)
Fille aux fleurs: non ca va merci. Excusez-moi de vous avoir bousculé monsieur. Je l'ai pas fait exprès.
Ken (souris): c'est pas grave en plus c'est de ma faute. Elles sont très belles ces fleurs, ou les a tu ramassé?
Fille aux fleurs: ben je les fais pousser dans mon jardin et après je les vends car mes parents ne gagne pas beaucoup d'argent vous savez.
Ken: c'est très gentil ca. Combien tu les vends tes fleurs.
Fille aux fleurs: 5 yens la fleur monsieur.
Ken: alors je t'en prends dix. (Ken donne 50 yens à la fillette)
Fille aux fleurs: merci monsieur vous êtes très gentil.
Ken: mais y'a pas de quoi. Au fait comment tu t'appelle?
Fille aux fleurs: aeris monsieur. Bon je dois m'en aller. Au revoir monsieur.

Aeris partis dans une des ruelles en sifflant une petite mélodie. Ken restait la, il était content, son petit bouquet a la main. Mizuki arriva, d'un pas rapide, prés de kenichi. Il avait l'air en colère.

Mizuki: Ken-san t'es un méchant. Tu me laisse tomber en plein dans la visite.
Ken: (rigole légèrement) désolé mizuki, mais j'achetais des fleurs a aeris. Tu la connais?
Mizuki: bien sur que oui. Tout le monde la connait ici. Elle est très gentille. Elle veut tout le temps aider. Mais elle travail déjà assez dur comme ca. Tu sais les fleurs qu'elle t'a vendu sont pas facile a faire pousser. Faut en prendre soin tout le temps. Pour aider ses parents elle fait tout ce qu'elle peut, mais elle garde toujours le sourire. C’est une brave fille.
Ken: je vois ca.
Mizuki: bon on fini cette visite. Viens voir par la. Après on ira manger.

La visite se poursuivit sans encombre. Et vers à peu prés midi mizuki ramena Ken chez sa sœur rukia pour manger.
Ils entrainent dans la maison et ils virent qu’ayame était réveillée.

Ken: ca y est tu es réveillée? Alors comment tu va?

Kenichi s'approcha du lit de rukia et s'assis au bord.

Ayame: ca pourrais aller mieux mais ca va. C’est du bon travail tout ca....
Rukia: (descend l'escalier) mais faut pas trop en faire ayame-chan. Tu es ici pendant au moins six jours encore.
Ayame: je comprends. Merci de vos soins, heu, comment puis je vous appeler?
Rukia: (souris) appelle moi rukia et tu peux me tutoyer ne t'inquiète pas.
Ayame: alors merci beaucoup rukia-chan.

Kenichi pendant ce temps avait fait deux bouquets de fleurs égaux et les tendis a rukia et a ayame.

Ken: voila pour toi et pour toi.
Ayame: merci beaucoup kenichi.

Elle approcha Ken d'elle et le serra contre elle de son bras valide, l'autre étant plein de bandages.

Ken: (rougit) mais y'a pas de quoi!
Rukia: merci c'est très gentil.

Elle s'approcha de Ken et lui fit une bise.
Ken était tout rouge a ce moment la. Car il faut dire que rukia était une très belle femme. Mais son cœur restait à ayame.

Rukia: j'ai fait a manger mizuki tu va chercher tout ca s'il te plait. On va manger ici pour une fois.
Mizuki: cool. Attendez moi je reviens.

Le repas se déroula dans la bonne humeur. Les plats étaient délicieux. Apparemment rukia avait passé du temps a tout préparer.

Ken: merci beaucoup. C’était très bon. Tu es une excellente cuisinière en plus d'être un bon médecin.
Ayame: pour une fois Ken a raison. Hihihi.
Rukia: merci du compliment.
Ken: comment ca pour une fois? Tu veux dire quoi? Hein.

Kenichi se mit à faire la tète tandis que les autres riaient a tout rompre.
Le reste de la journée se passa de la même manière et le soir, en allant se coucher, kenichi s'endormis facilement.

Chapitre 6:

Quelques jours passèrent. La bonne humeur régnait dans le village, ayame se remettait doucement de sa blessure, mizuki montrait le village et le foret alentours a kenichi de fond en comble, ce dernier passait le reste de la journée à s'entrainer.
Midi approchait quand rukia décréta qu’ayame était remise totalement. Le repas se passa sans histoire puis kenichi et ayame partirent se promener. Ils marchèrent une dizaine de minutes le long d'un sentier. Le sentier débouchait sur une petite clairière, l'air y était frais et agréablement parfumé. Ayame avança d'un pas joyeux et se laissa tomber dans l'herbe. Kenichi fit de même et vint s'allonger aux cotés d'ayame.

Ayame: qu'est ce qu'on est bien ici, tu trouve pas kenichi-kun?
Kenichi: si, c'est vrai que c'est très reposant. (Ken se tourne vers ayame) désolé.
Ayame: quoi? Pourquoi es tu désolé?
Kenichi: c'est de ma faute si tu a étais blessé. J’aurais dût te protéger lorsqu'il t'a attaqué.
Ayame:(se tourne vers Ken) mais voyons ce n'est pas ta faute. Qu’est ce que tu aurais voulu faire?
Kenichi: mais tu a vu dans quel état tu étais? Je m'en veux à en mourir.
Ayame: ne t'en fait donc pas. Regarde je vais bien maintenant. Oublions tout ca et pensons à l’ avenir.
Kenichi: tu sais vraiment bien remonter le moral. Tu sais quoi, je vais te faire une promesse. Je promets de te protéger coute que coute même au prix de ma vie.
Ayame: tu es si gentil kenichi-kun. Moi aussi je vais te faire une promesse. Je te promets de tout faire pour t'aider à accomplir ta quête.
Kenichi: merci, ayame.

Mizuki apparut au loin. Il était en sueur et faisait de grands signes, il paraissait paniqué.

Mizuki:(essoufflé) Ken-kun, viens vite. Tu te souviens de la petite aeris. Et bien elle a des ennuis. Viens vite je t'en pris.
Kenichi: aeris? Mais qu'est ce qui lui arrive?
Mizuki: les hommes de saï, viens vite.
Kenichi: ayame tu viens avec nous?
Ayame: bien sur.

Ayame et kenichi suivirent mizuki et arrivèrent dans une petite impasse. Cinq hommes étaient la. Devant eux, aeris et deux corps ensanglantés. Les cinq hommes riaient aux éclats, aeris pleurait. D’après ce que Ken compris les deux corps étaient les parents de aeris. Kenichi fut pris d'une grande colère. Il sortit son épée, ayame sortit ses wakizashis et mizuki sortit aeris de l'impasse malgré sa résistance. Ken provoqua les hommes de saï.

Homme 1: quoi? Mais t'es qui toi? T’es pas de ce village. C’est la première fois que je te vois. Et c'est quoi cette épée tu sais tu va te blesser avec ca.

Les hommes se mirent a rirent de plus belle. L’homme qui venait de parler, sortit deux haches de son manteau. Les autres sortirent leurs armes aussi.

Homme 1: bon si tu veux je vais te tuer rapidement tu vois je suis gentil. Ha! Ha! …

Ken lui trancha le poignet droit. Il saisit la hache qui tombait et la planta d'un coup sec dans le crane de l'homme de main. Les autres sursautèrent de surprise et de peur puis chargèrent. Ken et ayame sortirent de l'impasse car ce n'était pas le meilleur lieu de combat. Ils esquivèrent coup sur coup. Ken bloqua un des hommes et le tua. Ayame sauta par dessus l'un des trois derniers hommes et lui planta ses wakizashis dans la nuque.

Homme 4: faut faire quelque chose sinon maitre saï ne va pas être content.
Homme 5: oui tu a raison. Bon on doit utiliser tout ce qu'on a pour faire notre rapport.

Ils sortirent des armes assez inquiétantes de sous leur manteaux et ils chargèrent sur ayame. Ayame para quelques attaques tandis que Ken fendit le crane d'un des deux hommes. En reculant, ayame trébucha et tomba tandis que le dernier des hommes de saï préparer son attaque.
Ken aperçu le mouvement, il roula sous l'adversaire parvint à stopper l'attaque et assena une rafale de coups sur l'adversaire.

Le combat terminé, ayame, kenichi, mizuki et aeris partirent chez rukia.

Chapitre 7

Aeris était en pleurs. C’était compréhensible vu ce qui lui est arrivé. Rukia essayait tant bien que mal de la réconforter mais les larmes de la petite fille ne s'arrêtaient pas. À part les sanglots d'aeris et les murmures de rukia, un silence pesant régnait dans la pièce. Au fond de lui même, kenichi comprenait assez bien la fillette. Lui aussi avait vu son unique famille se faire tuer. Sa haine envers saï ne faisait que croître. Ken aurait voulut hurler de colère mais les circonstances le réduisaient au silence. La nuit approchait et aeris s'endormit enfin. Son sommeil était agité mais elle dormait. Ken ayame mizuki et rukia sortirent pour discuter.

Rukia: la pauvre enfant. Elle est traumatisée.
Mizuki: il va falloir que quelqu'un s'occupe d'elle, maintenant qu'elle est orpheline.
Kenichi: et nous nous devons continuer notre voyage afin de tuer cette ordure de saï.
Rukia: pour aeris ne vous inquiétez pas je m'en occuperais. Le plus important c'est de vous préparer car ce voyage sera sûrement long et périlleux. Je vous ai préparé des trousses de soins au cas où. Il y a des crèmes, des onguents, des bandages, du fil, des aiguilles....enfin y'a de quoi se soigner.
Ayame: merci rukia. Ton aide nous est précieuse.
Kenichi: nous devrions aller dormir, il se fait tard. Ayame, demain nous partons, d'accord?
Ayame approuva d'un mouvement de tête, puis ils partirent se coucher.

Rukia: tu veux partir avec eux?
Mizuki: j'aimerais mais je risque d'être un poids pour eux. Je ne veux pas les gêner.
Rukia: si tu veux y aller vas y. tu dois croire en tes propres capacités pour devenir un homme.
Mizuki: oui! Tu as raison. Bon on devrait faire comme eux tu ne penses pas?
Rukia: si. Bonne nuit.
Mizuki: toi de même.

Ken était le premier à se lever ce matin-la. Il sortit prendre l'air et rentra quelques minutes plus tard afin de préparer ses affaires. Ayame fit de même une vingtaine de minutes plus tard. Rukia se leva enfin. Seul mizuki ne se levait pas. Il dormait à poings fermés. Ayame et kenichi décidèrent de partir sans lui, estimant que ce voyage serait trop dangereux pour lui. Après de courts adieux, ils partirent vers l'est.

Le soleil était au plus haut et ayame et kenichi commencèrent à avoir faim. Ils décidèrent donc de se s'asseoir à une dizaine de mètres de la route pour manger. Le repas se déroula normalement mais, tandis qu'ils rangeaient, ils virent passer un homme à cheval qui portait une armure. Il s'en suivait une dizaine d'hommes à pieds et un dernier qui portait un étendard. Apparemment ils appartenaient a une armée. Ken leva les yeux pour voir l'emblème de cette petite troupe. À sa grande stupeur le symbole était celui des troupes de saï. Heureusement pour ayame et lui, les hommes de saï ne les avaient pas vus. Ce qui leur laissait un avantage.

Kenichi: (tout bas) regarde des hommes de saï.
Ayame: tu en es sur?
Kenichi: oui regarde leur drapeau, c'est leur emblème.
Ayame: et tu veux faire quoi? Ils sont nombreux là.
Kenichi: regarde il y en a que onze qui sont armés, dont le type a cheval. Si on agit vite on peut en éliminer la moitié en plus du gars au drapeau.
Ayame: c'est risqué et puis on sait pas ce qu'ils veulent.
Kenichi: a mon avis ils en ont après le village, a cause de ce qui s'est passé. Bon tu me suis? On commence par le fond.
Ayame: d'accord a trois. un.... (ils sortent leurs armes)...deux.....trois

Ayame et kenichi fondirent littéralement sur les ennemis. Quatre moururent sur le premier coup. Plus que huit. Le temps qu'ils dégainent, kenichi en tua deux autres. Ayame en égorgea un troisième et en trancha un quatrième. Plus que quatre. Le cavalier s'était retourné et regardait la scène sans bouger. Deux autres hommes de saï luttèrent, l'un d'eux blessa légèrement kenichi au bras et a la jambe, mais ce n'était que superficiel. Il ne resta bientôt plus que le cavalier et un dernier soldat, tremblant de peur. Ce dernier se mis à courir mais tomba au sol après avoir passé le cheval. Il ne restait plus qu'ayame, kenichi et le cavalier, son épée a la main, du sang coulant le long de la lame.

Cavalier: (soupir) un lâche et neuf faibles. Maître saï choisit mal ses hommes ces temps-ci. (Il montre Ken du doigt) toi la. Tu dois être le petit kenichi non? Et je suppose que toi tu es son amie ayame, je me trompe ?
Kenichi: c'est bien nous. que font les troupes de saï par ici?
Cavalier: doucement, deux règles: d'abord on ne parle pas sur ce ton à un lieutenant de maitre saï. Ensuite JE parle et toi tu écoutes.
Kenichi: alors comme ca tu es un lieutenant...
Cavalier: chut j'ai dit. Premièrement je me présente, yusuke, capitaine de la sixième division de sa majesté saï. Bon maintenant, sais-tu que tout tes actes "d'héroïsme" énervent mon maître? Et est ce que tu sais que tu viens de tuer dix de mes hommes?
Kenichi: je me fiche de ca. Moi je veux seulement tuer ton maître.
Yusuke: tuer mon maître? Tu es ambitieux petit mais tu ne fais pas le poids contre mon maitre. Je vais te le prouver.

Yusuke descendit de son cheval puis disparut. Quand il réapparut il était derrière kenichi, son épée prête à tomber sur lui. Ken para le coup de justesse mais lorsqu'il voulu riposter, yusuke avait déjà disparu. Il réapparu devant Ken cette fois ci, et il le propulsa d'un coup de pied. Ayame tenta de lui venir en aide mais le capitaine de saï était trop rapide.
Il attrapa le bras d'ayame et le tordis dans le dos de celle ci. Ayame souffrait et un craquement se fit entendre. L’épaule d'ayame venait de se déboîter.

Yusuke: seulement? Je m'attendais à mieux de la part de quelqu'un qui veut tuer maitre saï.
Kenichi: raaa! Tu va voir!

Kenichi chargea, il attaqua à plusieurs reprises mais il ne parvint pas à lui porter un seul coup. Soudain une entaille apparut sur le torse de kenichi. Du sang en jaillit.

Kenichi: (en pensées) comment est ce possible? Il était devant moi. Suis-je si faible que ca?

Ken tomba par terre. Quand il voulut se relever. Yusuke lui transperça la jambe gauche. Ken gisait sur le sol. Son sang se mêlant à la poussière.

Kenichi:(parle difficilement) pourquoi? Pourquoi est ce que tu sers un monstre pareil.
Yusuke: parce qu'il a donné un sens a ma vie.

Chapitre 8

Yusuke: parce qu'il a donné un sens a ma vie.

(9 ans plus tôt)

Dans une ville rongée par la misère et la corruption, le jeune Yusuke avait seize ans et travaillait de son mieux afin de gagner de quoi manger. Il vivait seul et pour lui la vie n’avait aucun sens. Il avait toujours vécu dans la souffrance de la solitude, la tristesse. Il était repoussé par tout le monde bien qu'il ne sache pas pourquoi, mais il s'y était habituer. Pour combler ce vide dans son existence, il courait, longtemps, très longtemps. Ses journées étaient très monotones, charger des charrettes avec toutes sortes de choses, plus ou moins lourdes. Jamais il ne se plaignait. S’il faisait mal son travail, le contremaître le fouettait mais il ne disait rien.

Après une journée bien remplie, le patron de Yusuke lui donna une poignée de pièce en guise de récompense. Ce geste arracha un sourire au visage de Yusuke qui était pourtant si passif d'habitude. C’était un bonheur immense, on lui faisait un cadeau, le premier de sa vie.

Patron: tiens, c'est pour toi. Achètes toi des sandales. Tu vas finir par te blesser a marcher pieds nus.
Yusuke:(trouve mal ses mots) mer...mer...merci patron. Je travaillerai encore plus dur pour vous remercier.
Patron: allons file c'est moi qui te remercie.

Yusuke partit tout heureux sur la route. Il regardait avidement ses pièces quant il bouscula un homme, qui apparemment dirigeait le groupe derrière lui.

Chef de bande: et mais dit on. Tu viens de me bousculer la. Tu sais qui je suis? Je suis le grand Dawn. Allé excuses toi, chien galleux
Yusuke:(doucement) excusez moi.
Dawn: quoi, je ai pas entendu.
Yusuke: j'ai dit, excusez moi.
Dawn: ouais bon mais en fait ca me suffit pas. Oh mais tu as de l'argent sur toi, allé donnes!
Yusuke:(doucement) non.
Dawn: parles plus fort microbe j’entends rien.
Yusuke: j'ai dit non, c'est un cadeau du patron.
Dawn: ah mais il se rebelle le petit. Bon marashi donne lui une leçon.
Marashi: d'accord patron.

Un grand homme sortit de derrière du rang. Il était très massif, sa main saisirait la tète de yusuke et l'écraserait sans problème. Apparemment il allait le tabasser. Yusuke se recula un peu. Il s'apprêtait à courir quand marashi le saisit par la gorge.


Marashi: aller tu vas donner, oui?
Yusuke:(rougissant sous la pression du sang) n..non!
Marashi: aller donnes.

Yusuke donnait de grands coups de pied dans les airs dans l'espoir d'atteindre le colosse. Sans succès. Il allait s'évanouir et sûrement se faire tuer par la suite. Le patron serait déçu de ne plus le voir. Yusuke ne pourrait plus travailler. Il donna un dernier coup de pied. Il y mit tout son cœur. "Pourvu que je le touche" se disait il. Et par miracle le coup atteignit sa cible. Yusuke avait frappé son ennemi en plein dans le cou. La nuque de marashi se plia sur le pied sous l'effet du choc, les yeux exorbités, la bouche grande ouverte. La main qui tenait yusuke se lâcha. Ce dernier tomba au sol et respira a grandes bouffées tout l'air qu'il pouvait. Pendant ce temps marashi s'écroulait, écrasant par la même occasion un autre homme derrière lui.
Yusuke reprenait sa respiration tant bien que mal tandis que les autres prenaient conscience de ce qui venait de se passer.
Yusuke s'était lever et il se mit à courir. Il courut de tout son être et il entendit derrière lui "rattrapez moi ce morveux vous autre et grouillez vous."
Pendant sa course, yusuke croisa un homme a cheval suivit de quelques hommes. L’homme était armé d'une hache.
Yusuke n'y prêta pas attention et continua de courir. Les hommes de Dawn perdaient du terrain. Yusuke était extrêmement rapide. Yusuke tourna dans une ruelle mais celle ci s'avéra être une impasse. Il tenta d'escalader le mur mais en vain. Alors il fit demi-tour. Malheureusement pour lui les hommes de Dawn lui bloquaient le passage. Ils s'approchaient, lui recula et retenta de grimper sur le mur mais obtint toujours le même résultat.

Homme 1: t'as pas obéit au patron. Tu vas souffrir mon pauvre petit.
Homme 2: oui ça s'est sur.
Homme 1: on ne t’a pas sonné toi. Tapes lui dessus c'est tout.
Homme 2: oui pardon. Allé venez les gars.

Sept hommes approchèrent yusuke. Il ne lui restait aucune issue. Jamais il ne s'était battu. Mais il devait les battre s’il voulait sortir de ce pétrin.
Le premier homme tendit la main pour le saisir. Yusuke abattit son poing sur le poignet de son assaillant, suivit d'un coup de pied dans la tête. Contre toute attente l'homme de Dawn se retrouva au sol. Les autres se jetèrent alors sur yusuke. Ce dernier parvint à donner un dernier coup avant d'être submergé. Il prit plusieurs coups qui le mirent à terre. Ils continuèrent de le tabasser jusqu'a que chaque partie du corps de yusuke le fasse souffrir. Pour finir un des hommes lui pris l'argent et cracha au visage de yusuke, désormais inconscient.

A son réveil il était encore dans l'impasse, les hommes de Dawn y étaient aussi, mais morts. Il y avait aussi l'homme à la hache. Il paraissait l'observer attentivement.

Yusuke: vous les avez tués?
Homme à la hache: oui. Je t'ai observé courir et te battre. Apparemment tu cours très vite mais ton combat laissait à désirer. A oui j'oubliais tiens je crois que c'est a toi.
Saï donna à yusuke les quelques pièces
Yusuke: merci monsieur. Merci beaucoup
Homme à la hache: appelles moi Sai.
Yusuke: d'accord.
Saï: ça te dirait de venir avec moi. Tu pourrais devenir riche et puissant.
Yusuke: c'est que mon patron a besoin de moi. Je lui dois tout. Travailler pour lui est ma raison de vivre.
Saï: je vois que tu lui es très dévoué. Bon très bien. Mais si tu changes d'avis je suis en ville pendant un moment. Tu me trouveras facilement.
Yusuke: oui. D’accord.
Saï: bon allé rentres chez toi et soignes toutes ces blessures.
Yusuke: oui merci monsieur saï. Merci pour tout.

Le lendemain matin yusuke se leva difficilement. Tout son corps lui faisait mal. Mais il irait travailler coûte que coûte. Il arriva sur son lieu de travail mais apparemment il n'y avait personne. Ce qu'il trouva étrange vu qu'il était grandement en retard. Il examina le bâtiment et découvrit avec horreur dans la réserve un tas de cadavres. Il fut particulièrement choqué de voir le corps de son patron. La scène était indescriptible. Bien sur il savait qui avait fait ca. C’était forcement Dawn. Ce maudit Dawn. Il venait de lui prendre sa raison d'être. Yusuke était en larmes. Il devait venger son maitre mais il était trop faible il avait bien vu. Sa seule chance était de trouver monsieur Sai. Alors après avoir enterré tous les corps il partit à sa recherche. Il se retrouva dans une petite auberge. Il alla devant la chambre de saï et frappa.

Saï: entre yusuke.

Yusuke fut surpris que monsieur saï sache que s'était lui mais bon il s'en moquait pour l'instant.

Yusuke: (entre et s'agenouille) monsieur Sai, j'aimerais vous accompagner comme vous me l'avez proposé hier soir.
Saï: tu as donc changé d'avis mais pourquoi donc?
Yusuke: parce que mon patron est... il a été assassiné.
Saï: terrible chose.
Yusuke: et je sais qui l'a tué. C’est pourquoi je vous supplie de m'aider à me venger.
Saï: te venger hein. C’est une affaire personnelle normalement. Je ne devrais pas m'en mêler.
Yusuke: s'il vous plait monsieur. Je vous en supplie.
Saï: tu disais que le sens de ta vie était de servir ton maître c'est ca?
Yusuke: oui c'est bien ca.
Saï: et bien désormais je serais ton maître d'accord? Tu devras m'obéir. Ce sera ton unique but dans la vie. En échange tu deviendras riche et fort, et je t'aiderais à te venger. Tu es d'accord?
Yusuke: oui maitre. J’accepte. Je suis votre serviteur.
Saï: bien alors nous allons tuer ces gens et ensuite nous partirons. Qui veux-tu tuer?
Yusuke: Dawn et ses hommes, maître.
Saï: il parait que c'est un homme puissant ici. Nous verrons s’il est plus puissant que moi. Va dans la chambre d'a coté et demande a se qu'on te donne de quoi te battre.
Yusuke: oui, maitre.

Yusuke s'exécuta et une heure plus tard il se retrouva devant la demeure de Dawn.
Quelques hommes de Sai entrèrent par le toit, d'autres par les cotés. Sai, yusuke, et deux autres hommes entrèrent par devant.

En entrant les deux hommes qui accompagnaient Sai et yusuke tuèrent toutes les personnes dans la salle a l'exception d'une qu'ils blessèrent gravement seulement.

Sai: yusuke, tu vois cet homme? Tue-le.
Yusuke: très bien maître.

Yusuke s'approcha de l'homme qui suppliait yusuke du regard. Ce qui s'avéra inutile. Yusuke le tua sans hésiter.

Sai:(joyeux) bravo! Tu as réussi. Bien maintenant trouvons ce Dawn.

La bataille dura très peu de temps Dawn fut tué par yusuke ainsi il assouvit sa vengeance.
Sai ordonna qu'on accroche la tête de Dawn sur le balcon de devant. Ce qui fut chose faite.
Yusuke quitta quelques heures plus tard sa ville natale, accompagnant Sai partout et exécutant tout ses ordres.

(Dans le présent)
Yusuke: depuis je suis devenu ce que je suis. Tu vois maintenant pourquoi je lui obéis. Maintenant je vais te laisser mourir ici tu ne mérites pas que je t'achève.

Yusuke remonta sur son cheval et repartit. Kenichi perdait son sang, ayame était inconsciente. Ken sentait ses forces le quitter. Il allait mourir ici sans pouvoir se venger.

Chapitre 9

Kenichi ouvrit les yeux. Il était sous un arbre et il faisait nuit. A coté de lui ayame dormait. Était-il au paradis ? Avait-il succombé à ses blessures? Peut être était-ce mieux ainsi.

Soudain la voix de Mizuki retentit.

Mizuki : kenichi- kun !! Tu es enfin réveillé. J’avais peur mais je suis soulagé. J’ai réussi à te sauver grâce au matériel que ma sœur m’a donné. T’étais dans un sal état. Qui t’a fait ça ?

Kenichi : c’est yusuke, un lieutenant de saï ! Je n’ai rien pu faire contre lui (kenichi serra les poings) et j’ai pas pu tenir ma promesse. Ayame a encore été blessé. Je suis trop faible…

Mizuki abattit sa main sur la joue de kenichi.

Mizuki : tu dois pas dire ca. C’est de la faute de personne si quelqu’un est blessé pendant un combat. Et puis si tu te trouves trop faible t’as qu’a devenir plus fort voila tout.
Kenichi : tu as raison mizuki-san. Désolé.
Mizuki : bien ! je préfère ca.
Un large sourire fendit le visage de mizuki.
Mizuki : bon maintenant dors tu dois te reposer.

Ces paroles étaient vaines car kenichi dormait déjà.

Ils ne repartirent que trois jours plus tard. Ils arrivèrent dans une ville assez peuplée. Le petit groupe décida d’y passer la nuit. Mais vu qu’il était encore tôt, ils décidèrent de visiter la ville. Ayame partit en solitaire faire du lèche-vitrine. Kenichi et mizuki marchèrent un moment ensemble…enfin jusqu’au moment ou mizuki disparut après avoir sentit l’odeur de la nourriture.

Kenichi était seul désormais, il finit par sortir de la ville sans s’en rendre compte. Il eu une vision étrange.

Il y avait devant lui, un espace rectangulaire d’herbe délimité par une ligne blanche. Tout le terrain en plusieurs parties set aux extrémités de cet espace rectangulaire il y avait deux poteaux reliés par une barre horizontale.

Sur ce terrain bizarre, il y avait des hommes vêtus d’un drôle d’uniforme rouge et blanc. On aurait dit qu’ils avaient une sorte d’armure en dessous et portaient un casque rond. Sur leur uniforme on voyait des numéros et des noms. Ils jouaient avec un ballon ovale. L’un d’eux criait sur les autres et leur tirait dessus avec une sorte d’arme à feu. Le nom marqué sur son uniforme était « Hiruma ». Il envoya le ballon ovale à une sorte de singe nommé « fucking monkey ». Il y avait cinq hommes en ligne qui poussaient une drôle de chose. On aurait dit une charrette métallique. Un homme retint particulièrement l’attention de kenichi. Il portait un masque vert devant son visage. Il courait sur toute la longueur du terrain. Sa vitesse était impressionnante pour un être humain. Kenichi s’approcha du terrain et put lire sur un panneau : « terrain d’entrainement des devil bats ».

L’homme appelé Hiruma aperçu kenichi et s’approcha de lui. Kenichi resta méfiant et restait sur ses gardes.
Maintenant tout le monde regardait kenichi. Hiruma approchait encore il avait enlevé son casque. C’était un démon. Ses oreilles étaient aussi pointues que ses dents. Et une aura maléfique émanait de lui. Il sortit une autre de ces armes à feu et se mit à hurler :

« Fout le camp fucking samouraï »

Il pointa l’arme à feu sur kenichi, les autres hommes en uniformes parurent s’inquiéter et firent signe a kenichi de partir. Ce qu’il fit dans l’instant.

Hiruma : non mais c’est quoi ce gars. Venir espionner l’entrainement des devil bats. Aller tout le monde reprend l’entrainement.

Kenichi était loin maintenant et il repensait à ce qu’il venait de voir. Il se demandait s’il devait en parler aux autres et finalement il décida de taire l’évènement.

Il retourna à l’auberge et attendit les autres.

Chapitre 10

Kenichi attendait depuis une bonne demi-heure environ. Il se demander ce que les autres faisaient. Finalement Mizuki entra. Ses vêtements étaient couverts par endroits de graisse et autres condiments pour nourriture.

Mizuki : (long soupir de soulagement) j’ai bien mangé, j’ai bien bu. J’ai al peau du ventre bien tendu.
Kenichi : c’est quoi cette expression ?
Mizuki : ca vient de chez moi ca. Normal que tu connaisses pas. Enfin j’ai dépensé pas mal d’argent dedans. Va falloir que je me refasse.
Kenichi : idiot.
Mizuki : heee ! C’est méchant ca. Bon je vais me laver.
Kenichi : tu faits bien. Ca commence à fermenter sur tes habits.

Ayame entra une dizaine de minutes plus tard. Cependant elle entra au moment ou Mizuki sortait de la douche. Ce dernier n’ayant apparemment pas compris l’intérêt d’être vêtu. Ayame, après un léger silence le temps de remettre ses idées en place, poussa un cri strident et referma la porte derrière elle.

Mizuki : ben qu’est ce qu’elle a ?
Kenichi : (qui avait tourné la tète) ben ca te surprendrai pas de voir quelqu’un sortir nu devant toi ?
Mizuki : ben non pourquoi ?
Kenichi : laisse tomber et habille toi qu’Ayame puisse rentrer.
Mizuki : ok ! Ok ! Pas de panique !

Apres avoir enfiler quelques habits propres. Mizuki appela Ayame pour lui dire de rentré.
N’entendant aucune réponse, Mizuki décida d’aller voir.
Ayame était parti et avait laissé ses achats devant la porte.
On expliquera pas pourquoi mais Mizuki fut saisi d’un saignement de nez abondant en regardant dans un des sacs de courses.
Kenichi alla voir ce que devenait Mizuki. Celui-ci était apparemment dans un autre monde en ce moment. Kenichi parti donc à la recherche d’Ayame. En passant la porte il n’osa pas regarder dans le sac sous peur de subir le même sort que Mizuki.

Il se faisait tard et toujours aucune trace d’Ayame.
« Je devrais rentrer. Et puis Ayame peut se débrouiller seule je repartirai a sa recherche demain.» pensa Kenichi.

C’est à ce moment précis que Kenichi remarqua qu’il était perdu.

Il tenta en vain de retrouver son chemin. Mais il faillait si résoudre il était bel et bien perdu. En chemin il croisa un vieil aveugle qu’il percuta par accident. A ce moment le vieil homme engagea la conversation.
Vieil homme : toi ! Tu n’es pas assez fort pour réaliser ce que tu veux faire.
Kenishi : (surpris) qu’as-tu dit vieil homme ?
Vieil homme : tu es trop faible. Tu ne peux même pas battre Yusuke.
Kenichi : comment savait vous pour…
Vieil homme : tais-toi ! Si tu veux devenir fort suis-moi !
Kenichi suivit le vieillard aveugle mais étrangement il avait confiance en lui. Ses pieds le menèrent à un entrepôt. Le vieillard s’arrêta sec puis se tourna vers Kenichi.

Vieil homme : veux-tu devenir fort.
Kenichi : vous pouvez faire ca ? Nous ne nous connaissons même pas.
Vieil homme : moi je te connais. Et plus que tu ne le crois. Je sais que tu a un fort potentiel. Mais ce potentiel n’est pas suffisamment même développé au maximum de son état présent pour battre ne serait ce qu’un capitaine de Saï. Tu dois donc le développer au delà de tes limites. Pour ca j’ai une solution pour toi. Mais tu dois réaliser ca tout seul.
Kenichi : mais comment savez vous tout…
Vieil homme : plus tard les questions. La solution que je vais te proposer va te rendre fort en sept jours. Dans dix jours, quelque chose de terrible arrivera et tu dois être prêt. Donc dépêche-toi. Pars vers l’est. Tu devras marcher pendant une journée et demie sans t’arrêter si tu veux rester dans les temps. Tu trouveras une caverne et tu devras y rester pendant sept jours et sept nuits. En suite tu ressortiras et tu reviendras ici. M’a tu compris.
Kenichi : (en colère) comment puis je vous faire confiance ? Nous ne nous connaissons pas.
Vieil homme : alors regarde.

Le vieil homme posa sa main sur les yeux de Kenichi. Celui-ci eu une vision terrible.

Il voyait la ville ou ils étaient en train de se reposer. Des flemmes rongeaient les bâtiments.
Du sang se répandait dans les rues. On voyait des démons se nourrirent des humains. Des hommes en armures tuaient les civils. Puis la vision s’éloigna de la scène pour se diriger a la sortie de la ville. On y voyait Yusuke sur son cheval en train de rire aux éclats. Puis on se rapprochait de nouveau de la ville, Ayame et Mizuki combattaient avec acharnement. On pouvait voir plus d’une dizaine de corps étendus. Malheureusement le nombre les submergea vite. Ils furent tués tout les deux et décapité comme l’avais voulu Yusuke.
Kenichi se retourna brusquement et dégouté par l’horreur de la scène, se sentit soudain mal et il rendit son diner juste ensuite.

Vieil homme : tu comprends maintenant ?
Kenichi : mais comment ?
Vieil homme : ne parle plus dort maintenant. Je vais te préparais ce dont tu auras besoin pour ton périple. Tu partiras à l’aube
Kenichi : très bien. Merci pour cette aide précieuse, mais que vont dire mes amis que va-t-il se passer pour eux ?
Vieil homme : ne t’inquiète pas je m’en occupe.
Kenichi : merci. Merci pour ce que vous faites.

Kenichi encore pale des visions qu’il venait d’avoir s’allongea et se calma a sa surprise. Il s’endormit quelques minutes après.


voila le dernier chap du moment. j'attend vos commentaires ^^

Niah j'avais pas lu le dernier n_n
Shonen Shonen hein! xD
j'aime bien ta fic continue n_n

bo j'ai lut les 8 premiers chapitre

c'est marrant je retrouve un peu el style du roman : "le clan des otori"

en tout cas elle est vachment bien ta fanfiction warashi ^^

t'es doué

C yest j'ai tout lut ^^

le neuviéme chapitre avec les devil bats est vrai marrant lol

sinon je repéte se que je disait

trés bonne fanfic

merci a tout le monde.

un chapitre est en ecriture.

et je vous donne quelques elements.

gouffre. poids. panda (dedicasse a akumi)

voila a vous d'imaginer et de patienter. lol

voici le dernier chapitre sortit.
regalez vous

Chapitre 11


Kenichi courait désormais dans une forêt dense. Le déplacement y était difficile mais Ken courait toujours à son maximum. Puis lui vint l’idée de se déplacer dans les branchages qui paraissaient assez solides pour supporter son poids et assez resserrés pour pouvoir s’y déplacer sans être extrêmement habile. Quelques instants plus tard Kenichi était dans les arbres en train de se mouvoir plus aisément. Il était vrai qu’au sol, les racines et les différents végétaux ralentissaient la progression de Kenichi.
Il s’écoula une dizaine de minutes avant l’instant ou Kenichi ne sentit plus rien de palpable sous ses pieds. Il commença une chute assez périeuse mais il parvint à se raccrocher a une corde.
Kenichi se demandais comment elle avait put se retrouver la mais bon ce n’était pas primordial.
Le jeune homme entrepris alors la descente du ravin qui faillit lui faire perdre la vie.
Ken remarqua bien assez tôt que descendre cette falaise s’avérais aussi dangereux que de se laisser tomber. Mais il ne voulait pas vérifier ses dires.
Une fois en bas, Kenichi se ravit a la vue d’un petit cours d’eau qui sillonnait le long des grandes parois.
Il se désaltéra et entama la remonter opposée. Arriver à mi chemin, Kenichi fit la connaissance d’un groupe sympathique d’oiseaux qui se permirent de le piquer violement du bec. Ce petit contretemps engendra un combat très acrobatique au dessus du vide.
Apres quelques égratignures et des coups de poings perdus, Kenichi l’emporta sur les oiseaux et réussit même à en attraper un pour sa pitance. Arriver en haut il ne faisait pas encore nuit alors Kenichi continua son chemin dans ce qui s’annoncer être un désert. Il rencontra toutes sortes de choses, des squelettes d’animaux, des arbustes morts, et des anciennes connaissances, les devils bat gost qui poussaient une sorte de charrette en métal et d’autres qui courraient poursuivis par l’homme aux oreilles démoniaques.
Quand la nuit fut tombée, Kenichi installa son campement. C'est-à-dire un drap sur le sol et un petit feu rustique, pour la volaille.
Apres ce repas Kenichi se remit en route pour suivre les informations du vieil homme. La lune était haute quand Ken aperçut une bosse au loin dans le paysage.
Ca devait être la grotte. Il en était certain.
A l’entrée de la grotte, Kenichi vit un panda. Etrange pensa t il. L’es panda ne vivent pas dans cette région.
Soudain le panda sortit des poids de derrière lui. Il les jeta vers Kenichi. Celui-ci regarda les poids intrigué. Le panda sortit alors une pancarte y nota quelques mots et montra tout cela a Ken. Voici ce que disait le message.

« MET CES POIDS IDIOT »

Ken ne rétorqua rien, enfila les poids et regarda vers la grotte. Il voyait une paroi.
Puis en s’avançant il vit un trou circulaire de plusieurs mètres de profond. Il se sentit soudain poussé vers l’avant et Kenichi tomba dans le gouffre.
Sa chute fut anormalement rapide. Et l’atterrissage fut douloureux. Kenichi se retourna et vit en haut le panda avec son air impassible. L’animal lâcha quelque chose. C’était une autre pancarte. Elle disait

« Maintenant remonte a plus »
Puis le panda parti.
Kenichi : hé tu va pas me laisser la ! Sort moi de la ! Aller quoi c’est pas drôle.

En observant les parois du gouffre, Kenichi vit qu’elles étaient extrêmement lisses ce qui rendait l’escalade difficile voir même impossible.
Kenichi devait vite sortir de la. Mais comment. En réfléchissant il s’endormit. La journée avait été longue et il aurait besoin de toutes ses forces demain.

dans le prochain chapitre:

vitesse, determination, le retour du panda

Le panda c'est l'animal le plus intelligent de la terre...
En plus ça regarde des films por... hum.

Wé, j'adore ta fic, elle est marrante en plus x33
Bonne continuation.